[…] la coquetterie bien naturelle de qui s’amuse, avec la plus gentille et courtoise modestie, à s’exercer en un idiome où il a appris à penser, à rêver, en un idiome qu’il a eu plaisir à parler en même temps que sa langue maternelle.
Francis de Miomandre, Poèmes français d’écrivains brésiliens (Préface), chez Pierre Fanlac, Périgueux, 1967.